Juillet 2007
C’est une vielle valise oubliée dans un grenier poussiéreux avec, à l’intérieur tout un tas de paperasses, des vieilles photos, des souvenirs, des textes parus dans des revues confidentielles, d’autres, plus récents, au gré des émotions…
Ni actualité, ni “points de vues”, ni “appels”.
Y’a pas d’humour, pas de provocation, pas de second degré.
C’est juste de la poésie, enfin… c’est la mienne.
N’hésitez pas à rajouter votre grain de sel.
Par crainte des spams je ne mets pas mon adresse.
Pour me joindre, envoyez un commentaire “privé”,
je vous répondrai.
Le type avec la cravate, au milieu,
c’est moi, et c’est en Mai 68, Bld St.
Germain à Paris. J’ai retrouvé cette
image dans Les Barricades de Mai
de Philippe Labro. Elle est de
Gilles CARON, de l’agence Gamma.
le 16 juin 2011
Je m’étais interdit, au départ de ce blog, d’étaler ma vie personnelle sous la forme d’un journal. Ma vie privée, mon égo, je ne me sentais pas le droit de le croire intéressant pour les autres.
Et puis, après l’échec retentissant du mouvement social de 2010 sur les retraites, je me suis interdit aussi d’appeler à des actions auxquelles je ne croyais plus moi-même.
En bref s’interdire c’est interdire quand même!
Et puis les coups durs, les vrais, les disparitions d’êtres chers, les angoisses pour d’autres, ont pris tellement de place qu’il ne m’en reste plus pour écrire (décrire) autre chose. Et d’ailleurs à quoi bon? Des petites histoires, au fond sans importance, alors que tout autour, j’ai l’impression que (mon) univers se délite.
Alors j’ai le choix entre boucler ce blog ouvert dans l’enthousiasme il y a maintenant quatre ans ou l’ouvrir à la forme journal, ce machin, avec un petit ruban, qui sert de confessionnal aux adolescent(e)s).
Caillou
4 février 2014
Bonjour
J’ai ouvert ce blog en juillet 2007, il y a donc 7 ans.
En voulant continuer à militer en disant JE tout en tournant le dos au cynisme froid des militants d’extrême gauche, (d’où le titre caillou tendre).
Grâce à votre collaboration active, à vous lecteurs, j’y ai mis des nouvelles, des histoires de famille, des colères, des coups de cœur, des rancœurs, des chansons, des photos, des regrets en essayant de garder cette charmante naïveté un peu conne : la tendresse, envers et contre le désespoir des temps.
Caillou
Bonjour,
Mes sincères félicitations pour votre travail. Je suis tombé par hasard sur votre blog. Je ne crois pas vous connaître. Mais vous citez La lettre de Camus à mon père. Sachez que nous habitions Sarcelles, au 50 avenue Paul Valéry, où il mourut le 13 mai 1965.
Vous évoquez encore Jean Grosso, que nous avons bien connu. A l’époque la bibliothèque était près de la gare.
Cordialement
Djémil KESSOUS