Le front buté de la machine, lucide et calme, s’avance et bouscule toutes les illusions.
Poumons, pompes, courroies, transmissions, tubulures… et la machine avance toujours
Elle mâche, malaxe, rumine. Dans ses entrailles sombre la nuit
Et ne laisse derrière elle que des traces, qui partiront aux premières pluies …
Caillou, 5 mai dernier.