Recuerdo los 10 dias que pase en esa playa nudista de Bourdigou en julio de 1982. Habia grandes chozas donde vivian comunas, otras solo de lesbianas..Haciamos la limpieza de la playa los jueves. Habia reuniones asamblearias. Y recuerdo una noxe en que todos apagamos un incendio en una cabaña. Yo me arregle con el resto de una tienda d campaña. Comiamos comunalmente en una de las cabañas y alguna vez fuimos a saint marie de la mer a mangar comida. La gran amenza era un camping que se proyecta ba alli desde hacía tiempo. Fue la puta felicidad aquellos dias. Y no logré follar! Salud y anarquía.
Je me souviens des 10 jours que j’ai passés sur cette plage de nudistes à Bourdigou en juillet 1982. Il y avait de grandes paillotes où vivaient des communes, d’autres uniquement pour les lesbiennes… On nettoyait la plage le jeudi. Il y avait des réunions d’assemblée. Et je me souviens d’une nuit où nous avons tous éteint un feu dans une cabane. Je me suis contenté du reste d’une tente. Nous avons mangé en commun dans une des cabanes et une fois nous sommes allés à Sainte Marie de la Mer pour acheter de la nourriture. La grande menace était un camping qui y était projeté depuis longtemps. C’était le putain de bonheur ces jours-là. Et je n’ai pas pu baiser ! Santé et anarchie.
Recuerdo los 10 dias que pase en esa playa nudista de Bourdigou en julio de 1982. Habia grandes chozas donde vivian comunas, otras solo de lesbianas..Haciamos la limpieza de la playa los jueves. Habia reuniones asamblearias. Y recuerdo una noxe en que todos apagamos un incendio en una cabaña. Yo me arregle con el resto de una tienda d campaña. Comiamos comunalmente en una de las cabañas y alguna vez fuimos a saint marie de la mer a mangar comida. La gran amenza era un camping que se proyecta ba alli desde hacía tiempo. Fue la puta felicidad aquellos dias. Y no logré follar! Salud y anarquía.
Je me souviens des 10 jours que j’ai passés sur cette plage de nudistes à Bourdigou en juillet 1982. Il y avait de grandes paillotes où vivaient des communes, d’autres uniquement pour les lesbiennes… On nettoyait la plage le jeudi. Il y avait des réunions d’assemblée. Et je me souviens d’une nuit où nous avons tous éteint un feu dans une cabane. Je me suis contenté du reste d’une tente. Nous avons mangé en commun dans une des cabanes et une fois nous sommes allés à Sainte Marie de la Mer pour acheter de la nourriture. La grande menace était un camping qui y était projeté depuis longtemps. C’était le putain de bonheur ces jours-là. Et je n’ai pas pu baiser ! Santé et anarchie.