LA NUIT

La nuit se crève en lambeaux gris
la rue s’échappe aux cris des grues
la pluie s’étale sans un bruit
l’ombre de ta main qui se pose
au macadam de mon désir
éveille un silencieux sourire
au calme noir de la nuit

Caillou 1982

Une réflexion au sujet de « LA NUIT »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *